Ligne n° 259
À l'heure actuelle, seules les sections Roye-Chaulnes, et Cambrai-Douai,
À l'heure actuelle, seules les sections Roye-Chaulnes, et Cambrai-Douai,
sont exploitées ferroviairement.
* Roye-Chaulnes (13 km) est une VU à trafic restreint, qui dessert depuis Chaulnes (ligne Amiens - Laon), la sucrerie de Roye, et qui permet aux Trains-Travaux d'accéder à la LGV-Nord, via le raccordement situé à Hattencourt. (j'ai fait poser en 1992-93, l'appareil sur la VU, ainsi que la base de maintenance LGV à Chaulnes)
* Cambrai-Ville - Douai (27 km) est une VU exploitée uniquement pour les voyageurs. Avec la réalisation de la LGV-Nord, cette section fut électrifiée en 25 kV, afin de permettre la mise en circulation de TGV Paris-Nord - Cambrai-Ville. Ça n'a pas duré longtemps.
Au début des années 90, les sections Chaulnes - Péronne - Roisel; ainsi que Épehy - Cambrai étaient encore exploitées sous le régime des VU à TR.
La section Roisel - Épehy (8 km) étant fermée. Cette section avait la particularité d'avoir connue 2 lignes. La ligne 259 St-Just - Douai, exploitée par la SNCF, et la Ligne des chemins de fer secondaires St-Quentin - Roisel - Épehy - Velu (62 entre Achiet et Marcoing), exploitée par la RTA ( Régie départementale des Transports de l'Aisne).
À Ste-Émilie, entre Roisel et Épehy, il y a une sucrerie (voir photos), qui était desservie en dernier par la SNCF (reprise des lignes exploitées par la RTA, en 1981), depuis Épehy, puis par l'ex voie de la RTA...
Hélas, ce trafic a été perdu, et la ligne fermée.
La ligne 15 des TER Picardie (Montdidier - Roisel) dessert par Bus, les localités du parcours.
Le panneau photographié à Ste-Émilie n'a pas vu de bus passer depuis un certain temps.
Épehy, est la seule gare de la somme, autrefois gérée par la région SNCF de Lille.
Avant l'électrification en 25 kV du réseau Nord, cette ligne était à double voie (avec LRS et Traverses Béton!), avec cantonnement mécanique. Le principal trafic, était celui lié au charbon exploité dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, et à destination de la région parisienne.
* Roye-Chaulnes (13 km) est une VU à trafic restreint, qui dessert depuis Chaulnes (ligne Amiens - Laon), la sucrerie de Roye, et qui permet aux Trains-Travaux d'accéder à la LGV-Nord, via le raccordement situé à Hattencourt. (j'ai fait poser en 1992-93, l'appareil sur la VU, ainsi que la base de maintenance LGV à Chaulnes)
* Cambrai-Ville - Douai (27 km) est une VU exploitée uniquement pour les voyageurs. Avec la réalisation de la LGV-Nord, cette section fut électrifiée en 25 kV, afin de permettre la mise en circulation de TGV Paris-Nord - Cambrai-Ville. Ça n'a pas duré longtemps.
Au début des années 90, les sections Chaulnes - Péronne - Roisel; ainsi que Épehy - Cambrai étaient encore exploitées sous le régime des VU à TR.
La section Roisel - Épehy (8 km) étant fermée. Cette section avait la particularité d'avoir connue 2 lignes. La ligne 259 St-Just - Douai, exploitée par la SNCF, et la Ligne des chemins de fer secondaires St-Quentin - Roisel - Épehy - Velu (62 entre Achiet et Marcoing), exploitée par la RTA ( Régie départementale des Transports de l'Aisne).
À Ste-Émilie, entre Roisel et Épehy, il y a une sucrerie (voir photos), qui était desservie en dernier par la SNCF (reprise des lignes exploitées par la RTA, en 1981), depuis Épehy, puis par l'ex voie de la RTA...
Hélas, ce trafic a été perdu, et la ligne fermée.
La ligne 15 des TER Picardie (Montdidier - Roisel) dessert par Bus, les localités du parcours.
Le panneau photographié à Ste-Émilie n'a pas vu de bus passer depuis un certain temps.
Épehy, est la seule gare de la somme, autrefois gérée par la région SNCF de Lille.
Avant l'électrification en 25 kV du réseau Nord, cette ligne était à double voie (avec LRS et Traverses Béton!), avec cantonnement mécanique. Le principal trafic, était celui lié au charbon exploité dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, et à destination de la région parisienne.
Épehy BV
Épehy Cour Marchandises
Épehy Hotel de la Gare
Ste-Émilie Signalétique
Ste-Émilie Sucrerie en 9 vues .
Photos Yves B .
